Autres écrits

Ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai réalisé que ce blog m’appartenait, et que j’y étais libre d’y exposer les écrits souhaités. Alors je n’hésite plus. Et je vous en prie, si vous avez des commentaires, allez y, je serais curieuse des réactions, peu importe le registre dans lequel elles s’expriment.

Vous êtes vous déjà rendu compte, qu’aucun d’entre vous ne m’a jamais dit « Je te comprends, ne t’en fais pas » ? Moi je m’en suis rendue compte, et c’est de cette absence pourtant trop attendue que j’en ai déduit que personne ne me comprenait. La spontaneité est la preuve de l’honnêteté.

Savez vous seulement ce que ça fait, que d’être immergée dans une solitude suffoquante ? Que de s’apercevoir que dans ces moments, crier ne sert à rien, car les mots s’avèrent engloutis au fil de l’asphyxie ?

Et moi, je me noie, dans ma différence, celle dont tout le monde se fiche, celle que personne ne connait vraiment, au fond.

Vos seuls mots sont les bourreaux de mon âme, et je continue à les lire, en espérant qu’ils achèveront leur tâche.

Ma vie n’a jamais été limpide, mais ces troubles l’ont confirmé.

Je suis toujours là à tendre ma main envers tous, à accorder de multiples chances de rachat à nombre d’entre vous, mais un jour, tout ça expirera, car j’ai déjà commencé à me résorber au fil de la putréfaction de vos personnalités.

Vous êtes jaloux, frustrés.. Mais de quoi ? J’en ai assez d’être blamée pour ce que je n’ai choisi d’être, assez d’être persécutée par des animaux qui s'estiment évolués du seul fait qu’ils se vêtissent et se torchent avec du PQ.

Je vous ai tous cernés, je sais parfaitement de quelle optique vous me voyez, vous me sous estimez réellement, tout simplement car résignée, j’ai fini par tout tolérer de votre part, et ménager mes propos, afin de ne blesser personne, car mon but n’est pas d’entamer des dualités, mais de me protéger et de m’escrimer à croire encore en l’être humain.

Vous êtes des cobayes.

A quoi bon me traiter de cassos, me rejetter ? Tout ça parce que vous voyez en moi ce que vous ne serez jamais ; Quelqu’un de différent, qui n’a pas peur de se démarquer, quitte à être marginale.

Oui, certes, je n’ai aucune qualification reconnue par l’académie, je n’ai pas conclu ou publié mes écrits, mais j’ai bien mieux que ça ; C’est moi, et moi seule qui ait accompli tout les travaux qui figurent sur ce blog, et que probablement 1/8^ème des visiteurs ont lu, et à eux seuls, ils forment le relfet de ce que vous ne serez jamais capable de penser spontanément.

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Cette planète n’est rien d’autre qu’une vaste pâture peuplée de moutons à la tête baissée vers l’herbe et son teint hypnotique, ruminant une vie rêvée, pensant à une liberté qui se limite pourtant à leur champ de vision.. Mais levez la tête un peu, ou mieux que ça ;

Levez-vous.

 
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"Je serai trop différent pour leur vie si tranquille
Pour ces gens"
- College boy

« Les autres me fatiguent. Alors oui, je fais des efforts. Je leur parle, je fais semblant de m’intéresser à leurs propos, à leurs histoires. Je leur réponds. J’essaie d’être sociable. Mais cela me demande de la concentration et beaucoup d’énergie. Et tout d’un coup, presque sans m’en rendre compte, je décroche. Au bout de très peu de temps, dans une soirée, le vide se fait autour de moi. Et je me retrouve seule. Personne ne semble plus avoir envie de me parler. A la fois cela m’apaise, je n’ai plus d’efforts à faire. Mais cela me rend triste aussi. Pourquoi ? Pourquoi est ce que je n’arrive pas à me sentir bien parmi les autres ? Pourquoi je m’ennuie si vite dans les conversations ? Cela ne m’amuse pas. Et pourtant, eux semblent prendre tellement de plaisir à être ensembles. A partager. Je me sens terriblement seule. J’observe tout cela avec amertume. Colère, presque. J’aimerais moi aussi tellement m’amuser. Est-ce ma faute ? Suis-je vraiment quelqu’un d’inintéressant ? »

Source : Trop intelligent pour être heureux ?  - JSF